Nous voulions quitter Tbilissi au plus vite, mais les trains sont pleins, nous passons donc deux jours à flâner dans la ville. Jusqu’à la fin, jamais 2 nuits de suite dans la même chambre d’hôtel, il y a toujours une raison pour nous faire déménager -- on va dire que le système D fonctionne bien, on ne nous laisse jamais en rade …

« L » Aventure – avec un grand A -- de ces deux jours est la recherche du bureau de poste restante – notons qu’en russe on dit « poste restante » au moins c’est pratique. Voilà, pour être sûr d’avoir des cartouches de gaz qu’on ne trouve pas en Géorgie et qu’on n’a pas le droit d’emmener en avion, nous en avons envoyé quelques-unes par la poste à deux bureaux de poste à Tbilissi, et bien en avance, pour être sûr de les avoir en arrivant. Ben, raté, les deux adresses qu’on a utilisées – dont la poste principale – n’existent plus. On nous envoie un peu partout à travers de la ville avant que nous ne trouvions la poste restante pas loin de notre hôtel. C’est bien là, et on nous assure que ça arrivera bien ici, mais pas de cartouches en vue, ni avant le départ, ni au retour ... mais un des deux paquets est finalement bien arrivé (au bout de plus de 2 mois) puis revenu à Grenoble avec la mention « non reclamé ».

Tbilissili est une ville assez étendue avec des quartiers de tous les styles. Nous n'en voyons qu'une petite partie. Pendant ces deux jours nous visitons plutôt la vieille ville avec ces quartiers à broc et à bran et avec quelques traces des tremblements de terre.