Il fait encore un temps magnifique pour ce weekend du 11 novembre. Mais vendredi, juste un petit tour de VTT car le soir il y a soirée vin chez Alain. Samedi, nous partons pour un grand tour à partir de Névache ; à pied – personne n’a voulu me croire qu’il faudrait prendre les skis. Nous les avons regrettés, bien sûr, et le grand tour autour de la pointe des Cerces s’est transformé en deux balades à la journée, col de Chardonnet et tour de la haute vallée de Névache. Mais pas de regret, c’était deux journées magnifiques ou nous avions la montagne pour nous, comme on peut voir sur les photos.

La Fruitière – col de Chardonnet : on aurait dû prendre les skis ! Seulement sur les tous premiers mètres il n’y avait pas assez de neige pour skier, donc même pas de portage, et en plus, la neige était bonne. Soit, à pied aussi c’était très bien, la neige était bien portante et il y avait déjà des traces (raquettes, skis, pieds) de la veille. Mais au col de Chardonnet c’est midi passé, et la traversée sur le col de la Ponsonnière s’annonce moins aisée, puis après, il reste encore un bout jusqu’au Drayères. Donc demi-tour.
Il s’avère que la seule auberge ouverte de la vallée est « La Joie de Vivre » où ils élèvent des lamas pour la promenade, et où nous mangeons très bien. Dommage que le petit déjeuner est servi si tard.

Chapelles de Lacou – tour de la Ronde : nous sommes averti par un panneau « chasse en cours » et des vestes fluo visibles de loin. C’est un peu bizarre, ils n’ont même pas de chiens pour dénicher les sangliers dans les fourrées. Et comme souvent, nous voyons le sanglier bien plus haut dans la neige, où les chasseurs ne l’auront pas. Dans cette exposition bien ensoleillée, nous avons un long passage sans neige, puis une trace presque jusqu’au lac de Serpent, puis plus rien jusqu’au-dessus du parking d’été. Au parking finalement plein de promeneurs à pieds et à vélo (même à vélo couché avec pneus très lisses dans la neige). Descente sur la route fermée jusqu’au parking de la veille, puis retour vers les 2 chapelles sur le chemin rive gauche de la Clarée.